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Neue Musik für die schönste Zeit des Jahres
von Wilhelm Ditzel

Kassel. Wir kennen sie bis zum Abwinken, die Weihnachtslieder, die uns alle Jahre wieder als Hintergrundmusik in Einkaufsgalerien und Fußgängerzonen einlullen. „Zeit, dass sich das dreht“ dachten sich renommierte Künstler und Newcomer, die zum Fest neue Weihnachtsalben veröffentlicht habe

Die Überraschung der Saison ist die hierzulande bisher unbekannte, in Kanada aber sehr erfolgreiche Maryse Letarte, die auf“Des Pas Dans La Neige” (Local Media) mit zehn selbst komponierten Pop-Chanson-Perlen überrascht. So fröhlich wurde man lange nicht auf die festliche Zeit eingestimmt. Eine CD, die süchtig macht und die man immer wieder mit den besten Freunden/Freundinnen hören möchte. Selten wurde man so locker auf die Weihnachtszeit eingestimmt.

Source : HNA

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Bongartz – Freitag ist Musiktag

Des pas dans la neigeFranzösischer Winter-Weihnachts-Pop aus Kanada

Mit Maryse Letarte begrüßen wir eine neue Chanteuse aus dem frankophonen Québec – zumindest ist es das erste Album nach ihrem Debüt 1993, das den Weg bis nach Deutschland geschafft hat. Mit “Des Pas Dans La Neige” eröffnet sie quasi den Winter und die Weihnachtszeit. Ihr nunmehr siebtes Album klingt manchmal nach süßem Zuckerguss und lässt diese zuweilen graue Zeit mit funkelnden musikalischen Sternen erstrahlen. Wenn Maryse ihre Stimme erklingen lässt, füllt unweigerlich eine kuschelig positive Teetassen- und Kaminfeuerstimmung den Raum. Und sie meistert den Spagat zwischen fröhlichen Songs wie “Boom Boom” und eher getragenen, feierlichen Liedern, wie dem wunderschönen, instrumentalen “Songe De Décembre”. Insgesamt bewegt sich Maryse Letarte fern ab der gängigen Lieder, die in dieser Zeit gerne und oft durch die frostige Luft zirkulieren und schafft es dennoch die einzigartige Stimmung der kalten Jahreszeit einzufangen und sie uns auf Albumlänge wie selbstgebackene Plätzchen zu reichen. Wir nehmen gerne noch eines und genießen das erste wirkliche Weihnachts-Album des Jahres.

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Place des Arts – Une soirée des Fêtes avec Maryse Letarte (Vanessa Guimond, Journal de Montréal)

logo-jdm-2013Maryse Letarte a surpris tous les amateurs de musique du temps des Fêtes, en 2008, lorsqu’elle a présenté son désormais célèbre Des pas dans la neige, un irrésistible album, entièrement composé de matériel original, qui s’est écoulé à 25 000 exemplaires.

L’an dernier, elle devait monter sur scène afin de nous présenter les chansons extraites de ce disque, mais aussi celles de son plus récent, Ni le feu, ni le vent, lancé au mois de novembre. Enceinte de sa petite fille Stella, l’artiste avait dû annuler ses concerts.

C’est donc dire que le spectacle Des pas dans la neige, qui a pris l’affiche à la Cinquième Salle de la Place des Arts, mercredi soir, à Montréal, était attendu des admirateurs de la musicienne, qui a l’habitude de réaliser et d’arranger elle-même ses albums.

Dans une mise en scène de son cru, «inspirée par les univers de Tim Burton, Cocteau et Méliès», la chanteuse, qui était entourée de cinq musiciens et choristes, a amorcé la soirée avec Le mendiant de Noël et Entre Noël et le jour de l’An, toutes deux extraites de Des pas dans la neige.

Assise au piano à queue, entourée de plusieurs ampoules pendant à des dizaines de cordes, donnant l’impression qu’elle était entourée de flocons de neige ou d’étoiles scintillantes, Maryse Letarte a offert un concert intime, doux et agréable, à l’image de ses chansons.

Vanessa Guimond, Le Journal de Montréal

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Douceurs de Noël avec Maryse Letarte (Émilie Côté, La Presse)

LAPRESSE_LOGO_CoulQuand elle est arrivée sur la scène de la 5e salle de la Place des Arts dans sa robe dorée, de l’enthousiasme et de la fébrilité illuminaient son sourire. Il faut dire qu’il y avait plus de cinq ans que Maryse Letarte n’avait pas donné de spectacle à Montréal.

Il y a trois ans, son album de Noël Les pas dans la neige avait séduit le public et la critique, tout comme son disque «Ni le feu ni le vent», sorti l’an dernier, quelques mois avant que son médecin lui recommande d’annuler sa tournée prévue pour se reposer et donner naissance à sa petite fille.

Accompagnée de cinq musiciens, Maryse Letarte a brisé la glace avec la pièce instrumentale «Le mendiant de Noël», suivie d’«Entre Noël et le Jour de l’An». Sa voix douce et enfantine était quelque peu hésitante -nervosité explique-, avec un superbe enrobage musical doux et feutré, à l’image de l’album.

«Bonsoir, merci d’être là», a lancé Maryse Letarte à la foule, avant d’enchaîner avec «Ah! Que Je t’aime», tiré de «Ni le feu ni le vent». Les dizaines d’ampoules suspendues par des fils qui parsemaient la scène se sont alors illuminées, alors que le claviériste Marc-Antoine Olivier a sorti ses cuillères pour accompagner la chanteuse.

Un autre beau moment a suivi avec «Épilogue 1» et «Ni le feu, ni le vent», avec les arrangements de xylophone et les choeurs des musiciens (la bassiste Amélie Mandeville, le batteur Justin Allard, la violoncelliste Christine Giguère et le guitariste Marc Papillon-Ferland).

Pour ce qui est de la mise en scène, les musiciens étaient peut-être trop éloignés de la chanteuse. Quant à Maryse Letarte, il a fallu plusieurs chansons avant qu’elle change de position derrière son piano, où elle était malheureusement de dos aux spectateurs du tiers de la salle.

C’est dommage, car Maryse Letarte crée un lien très fort avec son public, que ce soit quand elle chante ou en scrutant la salle lors de ses interventions entre les pièces. Pince-sans-rire, elle raconte avec charme et humour avoir eu l’idée d’un album de Noël quand la préposée d’une clinique médicale lui a lancé: «pauvre toi, tu es née le 11 décembre, en plein dans le gros stress de Noël».

L’artiste a alors eu une prise conscience, déçue de voir que Noël était devenu une fête commerciale à la course effrénée. Avec son disque «Des pas dans la neige», elle a voulu faire savourer aux gens «le moment présent du Temps des fêtes», rendre hommage au «sacré des petites choses de la vie qu’on oublie pendant l’année» et rappeler «d’être des cadeaux au lieu de ne pas être un cadeau».

Juste avant l’entracte, pendant «Gloria», Maryse Letarte s’est levée de banc de piano pour faire taper des mains la foule. Puis elle s’est assise derrière un clavier rétro pour «Ô Traîneau dans le ciel». Elle faisait alors face à la foule, qui pouvait enfin profiter de la profondeur de son regard brillant.

Sur scène, Maryse Letarte donne dans la délicatesse et non dans la flamboyance. On sent son intégrité, son fin recul sur la vie et son désir sincère de faire réfléchir et sourire les gens avec ses chansons douces comme des comptines.

Après l’entracte, le numéro avec l’essoreuse à salade en guise d’instrument est tombé à plat, mais le public a eu droit à une finale plus rock avec son vieux succès «Je suis down», l’irrésistible «Boum Boum» et «Paralysée à Hollywood». C’est venu donner du pétillant à la fin de sa performance, tel un verre de bulles.

Émilie Côté, La Presse

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Noël nouveau genre avec Maryse Letarte (Jessica Émond-Ferrat, Journal Métro)

metronews-frIl aura fallu trois ans avant que Maryse Letarte ne présente ses chansons de Noël originales sur scène. Et même si cela a été dû à des circonstances extérieures (la chanteuse a dû reporter ses spectacles à cause de sa grossesse) ces trois années auront eu l’heur de permettre aux pièces Ô traîneau dans le ciel, Boom Boom ou encore L’année qui s’achève de se frayer un chemin entre les Petit Papa Noël, Mon beau sapin et autres classiques chers aux Québécois.

A priori, la Cinquième salle de la Place des Arts était le choix tout indiqué pour une soirée qui s’annonçait feutrée et intime, exactement le genre d’ambiance qu’évoquent les pièces molletonnées de Des pas dans la neige. Le décor choisi venait d’ailleurs aussi appuyer l’impression d’être dans un cocon enneigé: des dizaines d’ampoules suspendues à des cordes traversaient la scène, s’illuminant au gré des notes du xylophone, tels des flocons entourant l’artiste.

Mais d’entrée de jeu, un bémol, néanmoins: à cause de la configuration de la salle, l’auteure-compositrice-interprète a fait dos à la moitié du public pendant une bonne partie du spectacle. On aurait aimé voir davantage ses grands yeux expressifs et son sourire radieux pendant qu’elle chantait ses nouveaux classiques hivernaux.

Outre ce détail, la soirée était à l’image de l’album; paisible, lumineuse, poétique. Maryse Letarte avait eu la bonne idée de s’entourer de cinq musiciens chevronnés (Amélie Mandeville, Marc Papillon-Ferland, Marc-Antoine Olivier, Justin Allard et Christine Giguère), lesquels ont magnifiquement soutenu les mélodies aériennes de la chanteuse.

Celle-ci n’a pas hésité non plus à faire participer un spectateur à la pièce Songe de décembre, laquelle lui a été inspirée, a-t-elle raconté… par le bruit de son essoreuse à salade. Elle a donc invité le spectateur à venir jouer dudit «instrument» sur scène. «Quand je pense qu’on est à la Place des Arts», s’est-elle esclaffée à la fin de la chanson.

Maryse Letarte a aussi pris le temps d’expliquer au public la genèse de cet album de Noël composé, fait rare, de chansons inédites: «Une infirmière m’avait demandé ma date de naissance, et quand je lui ai dit que c’était le 11 décembre, m’a répondu: “Pauvre toi! En plein dans le stress du temps des Fêtes!” Ce qui m’a fait me demander: “Mais qu’est-ce que Noël a fait de nous?” De là est née la chanson Ô traîneau dans le ciel. Je me suis dit qu’il fallait prendre le temps de s’arrêter un peu pendant le temps des Fêtes, pour savourer les choses simples de la vie.» Et c’est exactement ce qu’on a fait pendant deux heures mercredi soir.

À la Cinquième salle de la Place des Arts jusqu’au 23 décembre

Jessica Émond-Ferrat, Journal Métro

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Des pas dans la neige, Maryse Letarte à la PdA – Discrètement féérique (Sylvain Cormier, Le Devoir)

Logo Le DevoirPour tout décor dans cette Cinquième salle si froide et si peu magique, un ciel d’ampoules en guise d’étoiles, qui scintillaient au besoin. En supplément, Maryse Letarte elle-même servait d’élément mobile, sa robe metal flake argentée miroitant sous les faisceaux d’Alain Lortie. Il ne fallait pas plus pour évoquer l’enchantement feutré, la discrète féérie de l’album Des pas dans la neige: d’entrée de jeu, nous étions dans un autre monde. Son monde.

Enfin. Il y a déjà trois Noëls que nous le chérissons, cet album pas ordinaire de chansons d’hiver et des Fêtes: nous sommes au moins 25 000 à travers le monde, phénoménal succès pour un disque sans le moindre classique saisonnier, entièrement écrit et composé par la jeune femme. Cette première du spectacle de l’album aurait dû avoir lieu en 2008, seulement voilà: en plus d’accoucher de son plus beau disque en carrière, Maryse Letarte a eu un bébé, et ce fut son Noël à elle, d’où délai.

D’où fébrilité, aussi: allions-nous être encore là, encore sous le charme? Pas de souci: nous étions plus ravis encore que nous l’aurions été en 2008, les chansons plus nôtres encore. Sur scène, les arrangements étaient plus exquis, plus fragiles aussi, bijoux si finement sertis que Maryse et les siens (Amélie Mandeville, Marc Papillon-Ferland, Marc-Antoine Olivier, Justin Allard et Christine Giguère) semblaient craindre d’en briser les attaches. Délicatesse partout.

Violoncelle et violon, claviers, xylophone, percussions délicates, bruits singuliers (une sorte de concerto pour essoreuse à salade, notamment), on n’était pas loin de la parfaite pop sixties du Pet Sounds des Beach Boys, pas loin non plus du jazz, du prog, de la musique contemporaine. L’apparente simplicité des airs tenait en équilibre (parfois précaire) sur le fil d’une mécanique chansonnière complexe, cascade d’accords majeurs déboulant en accords mineurs et vice et versa: elle n’a pas froid aux doigts, Maryse, derrière sa petite voix. Accessibilité et richesse à la même enseigne.

Les chansons de l’album Ni le feu, ni le vent (paru en 2010) et celles de l’album Des pas dans la neige se répondaient comme les deux faces de la même planète, côté sombre et côté lumineux de la même Maryse Letarte: c’est dire à quel point son album de Noël n’en est pas un au sens banal du terme, mais bien la suite naturelle d’une oeuvre cohérente et sensible. De grâce, remplissez-lui la Cinquième salle jusqu’au 23 décembre. Des fois que ça lui donnerait envie d’un volume 2.

Sylvain Cormier, Le Devoir

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Chanson – NI LE FEU, NI LE VENT (Sylvain Cormier, Le Devoir)

Logo Le DevoirÀ ceux qui ont attrapé le traîneau en chemin — vous avez été 20 000 à vous procurer Des pas dans la neige, ce disque de Noël qui n’en était pas un —, voici l’occasion de confirmer l’impression: oui, tout ce qu’enregistre Maryse Letarte est à chérir.

Et c’est vrai depuis les années 1990: cinq albums témoignent de cette élégance dans la manière, cette transparence dans l’expression. La jeune femme n’en finit plus d’affiner son art, qui est complexe, mine de rien: un art de l’épuration, de la clarté, de la beauté à petites touches, ici des vents et des cordes idéalement servies, des mélodies aux détours ravissants et heureux. Elle sait ce qu’elle fait, fait presque tout, et tout bien: réalisation, arrangements (à la Bacharach, souvent), prise de son, l’essentiel de l’instrumentation. Tout sans forcer. Elle nous amène chez elle comme un disque y parvient rarement: émois, naufrages, douces euphories, tout est là. En spectacle à La Tulipe ce mardi.

Sylvain Cormier, Le Devoir

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Maryse Letarte après Noël, avant Noël (Alain Brunet, La Presse)

LAPRESSE_LOGO_CoulIl y a deux ans, elle a fait un album pop avec pour thème l’hiver et ses festivités. On a eu tôt fait de considérer Des pas dans la neige comme un album-concept du temps des Fêtes. Vendu à plus de 20 000 exemplaires, cet opus est aujourd’hui mieux connu que sa créatrice ne l’est à la sortie de son cinquième album ! Puisque nous faisons ce week-end nos premiers pas dans la neige, les premiers d’une longue série (…), l’occasion est belle de vous causer de Maryse Letarte.

Amorcée depuis les années 90, la carrière d’auteure-compositrice-interprète a été laborieuse pour cette femme. La vie publique, la communication directe semble lui exiger des efforts considérables… ce qui m’a souvent laissé l’impression qu’elle préférerait passer son existence entière dans un studio-bulle d’où émanerait sa création sans qu’elle n’ait à la défendre au dehors. Et, contre toute attente, Des pas sur la neige a surgi au pied d’un arbre, l’arbre de cet album alors en préparation :Ni le feu ni le vent.

Il ne faut pas se méprendre avec Maryse Letarte, difficile à saisir d’emblée. Il faut déployer ses antennes pour découvrir ses vertus créatrices, il faut leur laisser le temps de se dévoiler. Le dévoilement, d’ailleurs, se poursuit le 7 décembre prochain à La Tulipe.

Quelques écoutes son nécessaires à l’accueil des vibrations émises par cet être humain certes complexe mais dont le talent finit néanmoins par se révéler. Dans cette bulle où fut créé Ni le feu ni le vent, elle a arpenté son intériorité. S’est adressée à l’être aimé. A rêvé au creux de son lit d’un être cher passé à une autre dimension. Débusqué le merveilleux dans sa vie de banlieue. Ciselé un romantisme assumé, parfois exacerbé par une surabondance de fleurs bleues. Certes, les lettres de Maryse Letarte ont progressé sans que l’on puisse conclure à la grande affaire. Les notes , elles, avaient déjà fait pas mal de chemin – et plusieurs pas dans la neige !

Maryse Letarte est de ces rares compositrices de chansons pop d’ici qui puissent témoigner d’une telle connaissance harmonique, d’une telle maîtrise de l’orchestration, d’une telle connaissance de la pop classique pré-rock – je pense entre autres à Van Dyke Parks. Vu la voix feutrée et ténue de son interprète, les arrangements et la réalisation s’avèrent délicats, développés à sa mesure. Fin mélange de technologies numériques, cordes soyeuses, bugle staccato à la Burt Bacharach (une influence plus qu’évidente), hautbois, flûte traversière, piano électrique, piano, etc.. Même lorsque les rythmes s’échauffent un tant soit peu, les propositions restent cristallines. Maryse Letarte est ainsi construite… et arrive ici à extirmer le meilleur de son expression.

Alain Brunet, La Presse

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« Ni le feu, ni le vent » de Maryse Letarte (Audrey Neveu, Québec Spot)

logo-quebec-spotMaryse Letarte nous livre un cinquième album intitulé Ni le feu, ni le vent, tout en mélodies et en douceur, à l’image de la future mère. On y retrouve cette voix tendre, légère et empreinte d’une vulnérabilité qui font d’elle une chanteuse absolument extraordinaire.

Son premier extrait, Ni le feu, ni le vent, connaît déjà du succès auprès du public et avec raison. La présence de Theodore Baskin, premier hautbois à l’OSM, enrichit significativement cette mélodie aux arrangements entraînants. Sa voix satinée nous envoûte, avec ses intonations légères et cuivrées, donnant vie à des textes d’une qualité rare de nos jours. Le français n’a pas reçu un tel hommage depuis longtemps.

Impossible de décrire cette voix unique, dont la volatilité et la légèreté rendent si vulnérable la chanteuse. Nous semblons pénétrer l’univers intime de celle-ci, où nous sommes véritablement transportés par l’émotion intense qu’elle sait si brillamment nous transmettre. Elle nous berce d’une sérénité et d’un confort dignes de la plus belle tempête de neige, le rythme léger et délicat ponctuant ses chansons aux airs hivernaux.

Ni le feu, ni le vent est le produit de plusieurs années de travail, qui a pris vie avant même la sortie de son album de Noël, Des pas dans la neige. Maryse s’y est entièrement investie, signant tous les textes et les mélodies, en plus de jouer d’une variété incroyable d’instruments, tels le piano, les claviers, l’orgue, le glockenspiel et les percussions. Cordes et vents sont mis à l’avant-plan en se mariant merveilleusement à cette chanteuse-née.

Ah! Que je t’aime nous change d’ambiance avec son orgue et ses percussions plus dynamiques, une ode à l’amour. Cependant, notre chanson préférée reste sans conteste Petit homme, dont la première vie fut celle d’un poème destiné à l’enfant à naître de sa belle-sœur. La beauté du texte en aurait fait pleurer sa belle-mère et nous arrache aussi quelques larmes douloureuses, rien qu’à cette tendresse exprimée dans cette mélodie qui devient berceuse à nos oreilles.

S’il faut se fier à tout cet amour exprimé, nul doute que Maryse Letarte fera une excellente mère pour la petite Stella, due pour fin janvier. On espère seulement qu’après ce repos mérité, elle nous reviendra pour faire vivre ses succès, qui nous charment encore et encore. Entre temps, elle se produira à La Tulipe le 7 décembre pour notre plus grand bonheur.

Ni le feu, ni le vent, des disques Artic, distribué par Select, est en vente dès maintenant dans tous les magasins.

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Maryse Letarte : la magnifique (Jasmin Roy, Yahoo! Québec)

social_default_logo-1481777Je suis tombé littéralement en amour avec Maryse Letarte lorsqu’elle a lancé, il y a deux ans, son album de Noël Des pas dans la neige. Son nouvel opus Ni le feu, ni le vent est disponible dès aujourd’hui en magasin et je dois dire qu’après l’écoute de cet album je suis resté sans mots.

Maryse Letarte signe paroles, musique, réalisation et arrangements et s’inspire des éléments tels que le feu, le vent, la lune, l’eau et le soleil entremêlé avec des chansons d’amour qui décline les différentes teintes.

Maryse Letarte est le prochain Daniel Bélanger, son univers unique ne se compare à personne. Sa recherche musicale est audacieuse, actuelle et surprenante. Ses textes sont bien ficelés, intelligents et émouvants. Avec Ni le feu, ni le vent, Maryse Letarte vient d’entrer par la grande porte au panthéon des grands auteurs-compositeurs-interprètes du Québec et l’Europe tombera en amour avec elle j’en suis certain.

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Naissance du nouvel album de Maryse Letarte (Audrey Neveu, Québec Spot)

logo-quebec-spotMaryse Letarte accouche d’un nouvel album intitulé Ni le feu, ni le vent, présenté en primeur le 15 novembre au Upstairs Jazz Club, à l’occasion du lancement de cette nouvelle épopée. À deux mois de son premier enfant, la future mère ne ralentit pas la cadence et nous sert une nouvelle œuvre chargée de la douceur et l’émotion qu’on lui connaît.

Il y a longtemps que Maryse travaille sur Ni le feu, ni le vent. En fait, elle y travaillait déjà avant le lancement de son album de Noël, Des pas dans la neige, grandement acclamé par le public et la critique en 2008. Cette fois, elle nous revient avec ce cinquième album, auquel elle a participé à toutes les étapes, presque sans exception. Depuis l’écriture des paroles et des mélodies jusqu’aux arrangements, elle n’a laissé que le mixage au talentueux Erwin Autrique, du Studio ICP de Bruxelles.

L’album porte bel et bien sa signature originale. Empreinte d’une sérénité et d’une douceur sans pareille, elle s’inspire ici des éléments tels le feu, le vent, l’eau et la lune ainsi que des sentiments amoureux qu’elle dépeint grâce à sa voix purement mélodieuse. Sont également à l’honneur les instruments à cordes et à vents, tout particulièrement avec la présence de Theodore Baskin, premier hautbois à l’OSM, sur l’extrait Ni le feu, ni le vent.

Maryse Letarte sait nous envelopper d’une étoffe chaleureuse avec ses mélodies, comme pour nous protéger de l’hiver. De plus, ses textes nous vont droit au cœur, surtout la tendre pièce Petit homme, qu’elle dit être originellement un poème destiné à sa belle-sœur et son enfant à naître, qu’elle a ensuite transformée en musique pour notre plus grand bonheur. Assurément, ce morceau remportera beaucoup de succès auprès des fans de la chanteuse, qui étaient très nombreux à l’occasion de ce lancement très attendu.

Trois chansons n’étaient pas assez pour satisfaire la demande du public réuni, qui en demandait plus encore, mais laissons la future maman souffler un peu. Elle entreprendra une mini-tournée qui se rendra en région, entre le 25 novembre et le 12 décembre. Ensuite, elle aura droit à un congé de maternité bien mérité, avec la petite Stella. Quand on pense que c’est elle qui a tout réalisé, on se demande encore comment elle a l’énergie de nous présenter un tel succès.

Maryse présentera à Montréal son spectacle Le feu, le vent, la neige le 7 décembre prochain, au La Tulipe. L’album Ni le feu, ni le vent, des disques Artic et distribution Select, est disponible dès maintenant en magasin.

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Marie-Christine Blais, La Presse

Disques de Noël : la deuxième bordée
Maryse Letarte – Des pas dans la neige * * * *
L’an dernier, le CD Des pas dans la neige de Maryse Letarte avait été mon coup de coeur et je n’étais pas seule dans ma gang! Cette année, le CD sort en version 33 tours, magnifique, avec en prime un téléchargement gratuit de l’album, du papier d’emballage aux couleurs de Miss Letarte et surtout un beau son analogique, face A, face B.

Photo Vynile 1

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Blogue de Noël: mes albums



Alain Brunet

La période s’y prête, mettons. Au cours des jours qui viennent, je vous suggère (entre autres) quelques commentaires sur les albums de Noël qui vous sont suggérés dans les magasins, et dont j’ai fait une petite sélection.

Je n’ai rien d’un traditionaliste, mais je succombe au temps des Fêtes. J’ai des enfants, des parents, des proches, j’aime le temps des Fêtes et l’arrivée du solstice d’hiver, surtout pour les sports de neige que je pratique depuis l’enfance. Comme vous, je conviens que cette pause a son lot de superficialité, de surconsommation… et de mauvais albums de Noël. Cela étant, il s’en crée aussi des bons… et même des très bons.

Celui de Maryse Letarte, par exemple.

Petit bout de femme, petite voix fragile, vrai talent. Et, surtout, cette envie irrépressible de s’exprimer à travers la musique. Difficile de prévoir si Des pas dans la neige fera boule de neige, je me contente de vous dire que cet album est plus que joli. L’espace sonore aménagé par Maryse Letarte comporte toutes les caractéristiques d’un enregistrement fin, inspiré.

Pour servir ses dix chansons et pièces originales, elle réussit à s’y approprier de solides matériaux de pop culture, elle y intègre des éléments de musique minimaliste américaine, sans compter la musique classique. À ses talent de musicienne, d’arrangeur et de réalisatrice, se joignent des professionnels de haut niveau: le batteur Justin Allard, le bassiste Maxime Lepage, le guitarise Hugo Perreault, le trompettiste Némo Venba, un octuor de cordes, un choeur. Les mélodies y sont pour la plupart touchantes, nous avons ici un très bel amalgame d’émotions à fleur de peau et de judicieux procédés compositionnels.

Suivez le blogue de Noël, d’autres suggestions et commentaires suivront à coup sûr.

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Le Courrier de St-Hyacinthe

Noël, version Maryse Letarte!

Le nouvel album de Maryse Letarte, Des pas dans la neige, nous colle au coeur dès la première écoute. Ses chansons, elles, nous restent avec joie dans la tête.
Un album de Noël, un autre direz-vous? Parce qu’on sait parfaitement qu’au rayon des albums de Noël on retrouve de tout, du plus quétaine au plus grandiose; des mélanges de styles douteux ou des hymnes splendides et harmonieux. Cependant, l’album de Noël de Maryse Letarte nous réserve une surprise indéniable et contraste avec tout ce qu’on retrouve sur les tablettes en matière de musique de Noël.

En effet, la surprise est de taille lorsque nous apprenons qu’il n’y a aucune reprise sur cet album. Point de Minuit chrétien ou de Noël blanc à la sauce Letarte. Que des inédites. Pourtant, le répertoire de Noël semble tellement figé dans le temps et apprécié qu’on se demande vraiment qui oserait réinventer à sa manière de toutes nouvelles pièces de Noël?

« L’an passé, en novembre, j’avais sorti la pièce Traîneau dans le ciel et c’était juste une idée comme cela, une chanson que nous avions mise en ligne sur Internet. Ce n’était pas compliqué, explique Maryse Letarte. Je n’avais aucune attente, mais les radios ont beaucoup réagi en me disant que de nouvelles chansons de Noël, il n’y en a pas. Pour eux, je leur faisais un cadeau parce que depuis 50 ans, c’est toujours les mêmes chansons qui reviennent! »

L’effet de surprise passé pour l’artiste qui ne s’attendait pas à tant de réactions, l’idée de concocter un album complet de Noël fait son chemin dans la tête de Maryse Letarte, même si elle est déjà en studio pour un album standard à l’époque. « Au printemps, j’ai composé Anges de Noël et ce fut très très inspirant. Puis, j’ai fait le même exercice qu’une actrice ferait en se mettant dans la peau de quelqu’un d’autre, en m’imaginant des situations liées à Noël, à la fin de l’année, à l’hiver. Disons que cela m’a ouvert tout un nouveau monde, tant au niveau des sonorités que des textes qui en sont ressortis. » Et signalons que le résultat est tout simplement réussi et original.

Réécrire Noël

Des pas dans la neige est un album mi-chanté mi-instrumental. Ce qui est le plus palpable lorsqu’on s’imprègne de l’album de l’artiste originaire de Saint-Hyacinthe, c’est un désir évident d’être allé au-delà des préjugés musicaux qui entourent habituellement Noël, sans pour autant avoir mis de côté des ambiances feutrées, angéliques et chaleureuses, toutes typiques du temps des fêtes.

« J’ai voulu créer des tableaux d’aujourd’hui et mettre également en lumière tous les sentiments que nous avons face à Noël. J’adore ce temps de l’année, mais ce n’est pas vrai que c’est toujours 100 % bonheur. J’aime Noël, mais le magasinage et la course folle pour arriver jusque-là, je m’en passerais volontiers », signale Maryse Letarte.

Ainsi, Traîneau dans le ciel questionne justement cette commercialisation de Noël et la pression immense que cette fête exerce sur les gens. Je suis le feu qui luit/Au creux de la cheminée/L’amour est gratuit/Mais pas ses succédanés/Qu’est-ce que Noël/A fait de nous?/Il nous a tous/Mis à genoux.

Le résultat impressionne tant par les propos tenus que par les sonorités à la fois magiques et très contemporaines de Maryse Letarte. En pleine possession de ses talents de compositrice, Maryse Letarte offre des airs qui sonnent un brin rétro, qui scintillent avec ses xylophones, triangles et violons, magnifiquement harmonisés. La pièce Boom Boom, si rafraîchissante et classy, contraste de manière drastique avec la beauté lancinante de L’année qui s’achève, petit bijoux poétique sur la nostalgie souvent inhérente à cette période de l’année. On est vraiment très loin de Petit papa Noël!
Album concept
Maryse Letarte ne tient pas absolument à faire entrer son album dans la case exclusive et très serrée des albums de Noël.

« Ce n’est pas un album que l’on catégorise à tout prix « Noël ». J’étais surtout très inspirée à trouver de belles ambiances pour un album concept où j’ai réfléchi sur le thème de Noël, de l’hiver. Mon métier, c’est avant tout d’être auteure-compositrice-interprète et là, j’ai l’impression d’avoir apporté quelque chose à cette réflexion sur Noël, plutôt que de reprendre de grands classiques. »

cet effet, Maryse Letarte remplit très bien le défi qu’elle s’était lancé au printemps dernier. Avec des pièces instrumentales émouvantes et contemporaines (Le mendiant de Noël, L’automobiliste et le blizzard), elle réinvente Noël avec l’aide d’un magnifique choeur composé de deux sopranos et deux altos, pour un résultat stupéfiant. Sur cet album, les pièces instrumentales valent autant le détour que celles chantées et risquent de créer une ambiance bien particulière dans un souper de Noël!

Pour la pochette de l’album, Maryse Letarte l’a joué avec humour en personnifiant en quelque sorte un sapin de Noël traditionnel. « C’est le côté un peu plus humoristique que nous voulions donner à l’album tout en gardant la féérie. J’ai un grand respect face à cette fête-là et avec les photos plus habillées à l’intérieur de la pochette, c’est ce que je voulais démontrer. Je ne voulais pas que cela fasse clinquant, mais aussi, on est toujours un peu plus chic à Noël. ²a me sort donc du cadre plus folk contemporain auquel j’ai habitué les gens », de terminer Maryse Letarte qui affirme que cet album lui a fourni une inspiration renouvelée à divers niveaux, ce qui la suivra pour son prochain opus qui devrait atterrir sur les tablettes dans le courant de 2009.

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Chronique de disques de Martine Côté (Ça me dit de prendre le temps, Radio-Canada Québec)

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Martine Côté, Radio-Canada Québec

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